Jésus Une Rançon pour Tous

« élevez un étendard devant les peuples » — ésaie 62 : 10.

INTRODUCTION  L'APPLICATION DE LA RANÇON.  —  JÉSUS AVAIT DROIT À LA NATURE TERRESTRE  LE MÉRITE IMPUTÉ D'ABORD AUX CO-SACRIFICATEURS  L'IMPUTATION CONTRE L'APPLICATION  APPLICATION DU MÉRITE POUR LE MONDE —  LE REMÈDE PROPORTIONNÉ À LA MALÉDICTION.

*   *   *   *

INTRODUCTION

UNE VIE PERDUE PAR CONFISCATION est différente d'une vie sacrifiée. Une vie confisquée en est une qui est enlevée pour quelque juste cause ou raison. L'exemple principal est celui de la vie d'Adam, qui a été confisquée, ou enlevée, à cause du péché. Par contre, une vie sacrifiée est une vie qui est enlevée sans juste cause — une vie qui est volontairement offerte. Dans ce cas, le plus grand exemple est celui de notre Seigneur Jésus.

Notre Seigneur offrit volontairement Sa vie en sacrifice. Si Sa vie avait simplement été confisquée, elle n'aurait pas été un sacrifice. Son choix Le fit souffrir. Ainsi qu'un hymne populaire moderne l'exprime :


          
 Ce ne furent pas les clous qui fixèrent Jésus sur la croix,
            Ce fut Son amour pour nous qui Lui fit payer le prix.

 

Les Écritures révèlent comment, et surtout pourquoi Jésus souffrit. Elles disent qu'Il Se présenta sans tache devant Dieu. Il consacra Sa vie entière à faire la volonté de Dieu. Pour éprouver complètement Sa loyauté et Son obéissance, Dieu exigea qu'Il fût obéissant, soumis, « jusqu'à la mort, même la mort de la croix ». Sa vie ne Lui fut pas ôtée, ni par Dieu, ni par l'homme. Comme notre Seigneur le fit remarquer à Ses disciples, lorsqu'ils étaient dans le Jardin de Gethsémané, peu de temps avant Son arrestation illégale, Il aurait pu demander l'aide divine et plus de 12 légions d'anges — au moins 72 000 — seraient venues à Son secours. « Personne ne me l'ôte [ la vie ], mais moi, je la laisse de moi‑même » (Jean 10 : 17, 18). Dieu Lui donna l'occasion de manifester Sa loyauté. Ceci impliquait un sacrifice volontaire de la part de notre Seigneur. Par joie de faire la volonté de Son Père, Il renonça à tous Ses droits et privilèges terrestres.
 

L'APPLICATION DE LA RANÇON

Quand arriva le moment de la mort de notre Seigneur, Il ne dit pas : « Je fais cela pour tel but ou pour telle chose, et j'applique tout le mérite qu'il y a dans mon obéissance à tel dessein ». Il ne fit pas cette application alors. Lorsque nous parlons de la mort de Christ comme prix de la Rançon pour les péchés du monde entier, qu'Il Se donna en Rançon pour tous, nous prenons en considération certains aspects de l'arrangement divin, par lequel il sera possible à Jésus d'appliquer le mérite de ce sacrifice en faveur du monde des humains, comme prix de leur rançon. Ceci ne fut pas accompli lorsqu'Il mourut, mais le sera au moment, ou temps convenable (1 Timothée 2 : 5, 6).

Lorsque notre Seigneur eut manifesté Son obéissance jusqu'à la mort, le Père fut très satisfait d'accomplir envers Lui tout et même davantage que ce qu'Il avait toujours indiqué ou promis. Et donc, Il le releva d'entre les morts — non comme être humain — mais à la condition glorieuse de la nature divine, « au‑dessus de toute principauté, et autorité, et puissance, ... et de tout nom qui se nomme » (Éphésiens 1 : 21). 
 

JÉSUS AVAIT DROIT À LA NATURE TERRESTRE

Quand, au troisième jour, notre Seigneur Jésus fut ressuscité des morts par le Père, à la nature glorieuse qu'Il possède maintenant — tellement meilleure que la condition terrestre — Il avait un droit à la nature terrestre aussi — Il n'avait pas perdu cela. Cependant, s'Il avait repris Sa nature terrestre parfaite, Il aurait rendu Son sacrifice inutile. 

Expliquons : Supposez que notre Seigneur Jésus, ayant été relevé d'entre les morts à la gloire du Père, à la nature divine, ait dit : « Père, j'apprécie grandement ta bonté et ta faveur à mon égard en ce que tu m'as hautement exalté ; mais je préfère vivre sur terre en tant qu'homme ». Si, à Sa résurrection, Il avait préféré la nature terrestre, il aurait été tout à fait normal qu'Il la reprenne. Mais la reprendre aurait été détruire toute l'oeuvre qu'Il avait commencé à faire. Il avait déjà exprimé Son désir irrésistible de vivre avec Son père quand Il déclara : « Glorifie‑moi, toi, Père, auprès de toi-même de la gloire que j'avais auprès de toi avant que le monde fût » (Jean 17 : 5). Il est important de noter que, dans le programme divin, la volonté de Dieu concernant Jésus n'était pas seulement qu'Il obtienne la nature divine, mais aussi qu'Il conserve le droit à la nature humaine, avec tous ses droits et privilèges. Pourquoi ? Afin qu'Il pût l'appliquer comme prix de Rançon pour Adam et sa descendance (1 Timothée 2 : 5, 6 ; 1 Jean 2 : 2). 
 

LE MÉRITE IMPUTÉ D'ABORD AUX CO-SACRIFICATEURS

Bien que notre Seigneur Se soit donné Lui‑même en sacrifice volontaire il y a presque 2000 ans, Il n'a pas encore racheté tout le monde — Il n'a pas encore appliqué Son mérite humain comme prix de la Rançon pour le monde entier. Pourquoi ce délai ? 

Le prix de la Rançon fut déposé entre les mains du Père — précisément à la Justice du Père. Les paroles de Jésus mourant furent : « Père ! Entre tes mains je remets mon esprit » (Luc 23 : 46). Le Seigneur Jésus Lui-même a donc le droit à toutes ces choses qu'Il a l'intention d'accorder au monde des humains — Adam et sa race. Au temps convenable, Il donnera à chacun d'entre eux l'occasion de devenir membre du peuple de Dieu.
 

L'IMPUTATION CONTRE L'APPLICATION

Pendant l'Âge de l'Évangile, ou Âge de l'Église, Jésus a imputé Son mérite humain à ces individus qui, par la foi, sont entrés en relation de sacrifice avec le Père, suivant ainsi Ses traces (« prenne sa croix » Matthieu 16 : 24). Ce fut le Haut‑Appel dont il est question en Romains 8 : 16, 17. À la consécration, le croyant recevait le mérite de Christ par imputation — pas réellement, mais considérée comme telle. De cette manière, Dieu pouvait considérer le croyant comme parfait et sans péché. C'est la justification — rendu juste — par la foi. Cette imputation du mérite de Christ rendait la personne acceptable par le Père et en faisait une « nouvelle créature », engendrée par le Père (2 Corinthiens 5 : 17).

Par conséquent, tous ceux qui furent invités à venir sous cet arrangement spécial grâce à l'utilisation du mérite de la mort de Christ, vinrent sous l'imputation de ce mérite, non pas son application réelle — il n'y eut pas de passage réel du mérite à l'individu.
 

APPLICATION DU MÉRITE POUR LE MONDE

De façon vitale, il est important de conserver à l'esprit que Jésus mourut directement pour Adam seulement, et indirectement pour la race humaine — la descendance d'Adam (Romains 5 : 12‑19 ; notez le verset 14) *. Ce que notre Seigneur doit donner, c'est le droit à la vie humaine et les privilèges humains qu'Adam possédait à l'origine — tout ce qu'il avait mais qu'il perdit. Ce droit à la vie humaine, avec ses privilèges, dont notre Seigneur doit Se dessaisir, sera donné aux humains au temps convenable. 

* Ève, étant une extraction génétique d'Adam, fut considérée comme faisant partie d'Adam et, par conséquent, participe à sa transgression en recevant le même châtiment que lui (Genèse 1 : 27, 28 ; 2 : 20‑25 ; 1 Timothée 2 : 13, 14). Elle est donc couverte par le sacrifice en Rançon de Christ de la même manière que le sont tous les descendants issus d'Adam. 

En parlant de la déclaration faite concernant le mérite humain de Jésus, qui doit être donné en faveur du monde, nous ne sous‑entendons pas que tous les membres de la race humaine obtiendront [ finalement ] le plein avantage du sacrifice en Rançon de Jésus. (Nous ne sommes pas universalistes en ce sens). Seuls ceux qui viennent [ viendront ] en relation d'alliance avec Dieu pendant le Royaume médiatorial de Christ et, finalement, se prouvent fidèles, recevront le bénéfice complet de Son mérite. Quiconque rejette cette opportunité et refuse de devenir membre de Son peuple, rejettera les occasions qui doivent être accordées et, par conséquent, ne recevra pas le rétablissement à la vie humaine parfaite. « Il arrivera que toute âme qui n'écoutera pas ce prophète sera exterminée d'entre le peuple » ce grand Médiateur, Sacrificateur et Roi — le grand Prophète comme Moïse, suscité « du milieu de toi, d'entre tes frères » dont la Tête est Jésus, et dont les membres sont l'Église de l'Âge de l'Évangile (Actes 3: 19‑23 ; Deutéronome 18: 15). 

« Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui » — reste sur lui. L'incroyant n'échappera jamais à la colère de Dieu. Il aura eu l'occasion — il sera amené à la connaissance de la Vérité, il sera amené à une position où son privilège sera de venir sous l'arrangement des bénédictions de la Nouvelle Alliance qui s'étendront à tous par l'intermédiaire d'Israël. Mais s'il néglige d'utiliser cette occasion de devenir membre du peuple de Dieu, il n'échappera pas à la colère de Dieu. Il mourra de la Seconde‑Mort, pas à cause du péché d'Adam, mais à cause de son propre péché (Jean 3 : 36 ; Ézéchiel 18 : 2, 20 ; Ésaïe 65 : 20).
 

Seuls ceux qui viennent en relation d'alliance avec Dieu pendant le Royaume médiatorial de Christ et, finalement, se prouvent fidèles, recevront le bénéfice complet de Son mérite.
 

LE REMÈDE PROPORTIONNÉ À LA MALÉDICTION

L'un des textes les plus remarquables traitant de Jésus et de Son sacrifice en Rançon se trouve en Romains 5 : 12‑21. 

La difficulté de compréhension de ces versets provient du fait que les versets 13‑17 sont entre parenthèses. La ligne principale de l'argumentation de l'Apôtre passe du verset 12 au verset 18. La parenthèse est ouverte pour compenser une idée fausse chez les Juifs, [ à savoir ] que leur Alliance de la Loi était en désaccord avec l'Alliance faite sous Serment, laquelle a été employée pour développer les classes de la foi pendant l'Âge de l’Évangile. (Pas plus qu'elle ne sera en désaccord avec la Nouvelle Alliance, laquelle développera la classe du Rétablissement dans l'Âge prochain). 

Au début, ce fut difficile pour les chrétiens juifs d'accepter le fait que, sous l'Alliance faite sous Serment, Dieu ne reconnaît aucune différence entre un Juif et un Gentil, mais que « le même Seigneur de tous est riche envers tous ceux qui l'invoquent » (Romains 10 : 12). 

Dans les versets 12, 18‑21, l'Apôtre montre que, comme par un seul homme, le péché est entré dans le monde, et la mort comme châtiment pour le péché, et que cette sentence de mort a passé sur tous les hommes parce que tous ont péché — non pas tous individuellement, mais comme étant représentés en Adam, des reins duquel nous venons. 
 

Verset 12 : « C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et la mort par le péché, dans lequel tous ont péché, ainsi la mort a passé à tous les hommes ». 
 

Versets 18, 19 : « Ainsi donc, comme par une seule faute [ les conséquences de cette faute furent ] envers tous les hommes en condamnation, ainsi aussi, par une seule justice [ les conséquences de cette justice seront ] envers tous les hommes en justification de vie. Car comme par la désobéissance d'un seul homme, plusieurs ont été constitués pécheurs, ainsi aussi, par l'obéissance d'un seul, plusieurs seront constitués justes ». En d'autres termes, Adam, la tête ou ancêtre de toute la race humaine, ne pouvait léguer à sa postérité que le reste de l'héritage toujours décadent qu'il possédait lui‑même — une étincelle de vie sous la condamnation à mort. D'autre part, notre Seigneur Jésus, en mourant comme sacrifice en Rançon pour Adam, acquit de ce fait le droit légal de le rétablir à la vie, et en agissant ainsi, acquit aussi le droit de rétablir toute sa postérité. 

Quand sera venu le temps fixé pour restituer ainsi la vie à la race entière, Jésus, en tant que nouvel Adam, sera le père de la nouvelle race. Comme il est écrit : « On appellera son nom... Père éternel » (Ésaïe 9 : 6). Le droit de naissance de la race sous cette tête, Christ, à la différence de celui sous la première tête, Adam, sera la vie, et non la mort. Ce droit de naissance ne peut être ôté que s'il est perdu par la transgression volontaire individuelle de la Loi connue et juste de Dieu. 

Ici donc, nous avons esquissé la base de l'argumentation de l'Apôtre qui prouve que, par la loi d'hérédité légale, la race — qui, par l'action de cette loi, a hérité la mort de sa première tête, Adam — héritera, par la même loi, la vie de sa seconde tête, Christ. Le remède est proportionné à la malédiction. Ceci étant la substance de son argumentation, il prouve que les remarques entre parenthèses de l'Apôtre (versets 13 à 17) ne s'opposent pas mais sont en accord avec elle.
 

Jésus avait l'intention de faire la volonté de Dieu ; Il S'inclina devant la volonté de Dieu ; Il consacra Sa vie entière à faire la volonté de Dieu.
 

Verset 13 : « Car jusqu'à la loi, le péché était dans le monde ; mais le péché n'est pas mis en compte quand il n'y a pas de loi ». D'après ce verset, il doit y avoir eu une loi, et une alliance établie sur cette loi, avant l'Alliance de la Loi de Moïse avec Israël. Qu'était‑elle ? C'était la Loi de Dieu inscrite à l'origine, non sur des tables de pierre, mais dans le cœur du premier homme parfait ; elle s'est effacée graduellement dans sa postérité, parce que, comme l'écriture le dit, ils n'aimaient pas en garder la connaissance (Romains 1 : 28). Cette Loi, ignorée ou respectée, a toujours été la conscience du monde, et le péché contre cette Loi a toujours été compté à l'encontre de l'humanité. Le péché a toujours des conséquences. 
 

Verset 14 : « Mais la mort régna depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui ne péchèrent pas selon la ressemblance de la transgression d'Adam, qui est le type de celui qui devait venir ». Ici, l'Apôtre fait remarquer que la malédiction de la mort régna depuis Adam jusqu'à l'Alliance de la Loi, même si le péché de l'humanité en général n'était pas volontaire comme celui d'Adam. Ainsi donc, il est clair que toute l'humanité est née sous la loi originelle, dont l'autorité n'a jamais été annulée, et sous laquelle tous furent condamnés représentativement en Adam, le premier chef de la race. 
 

Verset 15 : « Mais n'en est‑il pas du don de grâce comme de la faute ? Car si, par la faute d'un seul, plusieurs * sont morts, beaucoup plutôt la grâce de Dieu et le don ont abondé envers plusieurs * ». Ce verset montre que les résultats de la faute et le don gratuit, sont complètement différents. D'une tête — Adam — l'humanité hérite la mort ; de l'autre — le régénérateur, Christ — les fidèles de l'humanité hériteront la vie. 

* Note trad. Darby : litt. : les plusieurs, c.-à-d. la masse en relation avec la personne en question. 
 

Verset 16 : « Et n'en est‑il pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché ? Car le jugement vient d'un seul en condamnation — mais le don de grâce, de plusieurs fautes, en justification ». Remarquez ici le contraste entre le seul et le plusieurs, dont le but est d'accroître notre appréciation de la valeur du don gratuit. 
 

Verset 17 : « Car si, par la faute d'un seul, la mort a régné par un seul, beaucoup plutôt ceux qui reçoivent l'abondance de la grâce et du don de la justice, régneront ils en vie par un seul, Jésus‑Christ ». La justice de Christ est imputée aux croyants dans cet Âge, et sera appliquée à la classe du Rétablissement dans l'Âge prochain. 

Ainsi donc, par ces remarques entre parenthèses, lesquelles, on le voit, sont en harmonie parfaite avec l'argumentation principale, il fut montré aux Juifs que leur Alliance de la Loi n'intervenait pas du tout dans la sentence originelle de mort de la race entière (tous en Adam). Pas plus qu'elle n'intervenait dans la miséricordieuse provision de vie conséquente pour toute l'humanité par Christ, et non pour les Juifs uniquement. 

L'Apôtre aborde clairement la question que posaient les Juifs : « Quel était le but de l'Alliance de la Loi, si elle n'était pas destinée à donner la vie ? ». Et après avoir expliqué le remède pour le châtiment du péché (versets 18, 19), il continue au verset 20 : « Or la [ loi ] est intervenue afin que la faute abondât ; mais là où le péché abondait, la grâce a surabondé ». 

L'Alliance de la Loi apporta avec elle une connaissance plus claire de la volonté de Dieu et, par conséquent, un sentiment accru du péché, et une responsabilité plus grande qui rendait les transgressions toujours plus blâmables. Mais cela signifie‑t‑il que Dieu avait uniquement l'intention d'affliger Israël plus lourdement que le reste de l'humanité ? Non, parce que, bien qu'ils aient reçu une connaissance plus claire de la Loi de Dieu, leur permettant de discerner le plus complètement leurs manquements, ce qui leur donnait une responsabilité plus grande, Israël reçut pourtant beaucoup de faveurs spéciales de leur Dieu de l'Alliance. 
 

Verset 21 : « Afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi aussi la grâce régnât par [ la ] justice pour [ la ] vie éternelle par Jésus‑Christ, notre Seigneur ». Le péché a régné à la fois sur Israël et sur le monde, mais à cause du grand sacrifice en Rançon de Jésus-Christ, Israël et le monde auront le privilège d'acquérir la vie éternelle, au temps convenable, dans le Royaume de Christ. 

Jésus avait l'intention de faire la volonté de Dieu ; Il S'inclina devant la volonté de Dieu ; Il consacra Sa vie entière à faire la volonté de Dieu. Nous louons Dieu, dont la Justice est pure et l'Amour insondable, pour la logique magnifique et efficace du sacrifice de la Rançon. Et pour l'amour obéissant et plein d'abnégation de notre Seigneur Jésus, Celui qui est tout à fait aimable, nous proclamons Alléluia, quel Sauveur

étendard de la Bible N° 272


Accueil Interconfessionnelle dans sa mission [non pas œcuménique] et libre de tout sectarisme, mais attachée à Dieu dans la mesure de la compréhension de Sa Parole, la revue l'étendard de la bible soutient, à travers de nombreux articles, l'explication et la défense du Plan divin... Ceci, elle le fait en particulier dans les rapports de ce Plan avec le caractère de Dieu et le sacrifice de Christ en "Rançon pour tous" (1 Timothée 2 : 6), avec Son ministère à l'égard des Élus maintenant, et à l'égard du Monde durant Son Règne messianique millénaire ; et avec Son Épiphanie (temps de Sa manifestation) dont les signes se manifestent maintenant parmi nous d'une manière apparente. Haut de page @


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